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Sainte-Colombe - Le Bourg- Parc aux Colombes


Un quartier antique figé par les flammes

La richesse des faubourgs de la colonie romaine de Vienne, installés en rive droite du Rhône, est connue depuis le XVIIIe siècle grâce aux vestiges encore en élévation du Palais du Miroir, édifice thermal riche en statuaires antiques, et par la découverte régulière de mosaïques à l’occasion de travaux agricole (Lauxerois 2013). Les fouilles de grande envergure menées dans les années 60 sur le site archéologique de Saint-Romain-en-Gal marquent un réel tournant dans notre connaissance de ce secteur de la colonie (en dernier lieu : Brissaud 2018). Sont mis au jour de riches domus décorées de mosaïques, des thermes publics (Thermes des Lutteurs et Thermes du Nord), mais également des espaces à vocation artisanale et commerciale, offrant une vision jusque-là inédite de l’imbrication des composantes urbaines d’une grande ville romaine de Gaule. Ces recherches se sont poursuivies dans les années 1980 et 1990 avec les chantiers de la rue Garon ou de la place de l’Égalité qui constituent les dernières grandes opérations menées en rive droite du Rhône (Le Bot-Helly 1994 ; Faure-Brac 2006). Il aura fallu attendre l’année 2016 pour que de nouvelles fouilles d’envergure aient lieu, avec une première opération dans le secteur des Petits Jardins (Clément, Nouet 2019), rapidement suivie par une seconde menée sur le site du Bourg, à Sainte-Colombe.

Effectuée entre avril 2017 et janvier 2018, cette fouille archéologique a été menée par Archeodunum en préalable à la construction d’immeubles et de parkings sur une parcelle de 7000 m² située à la sortie de la commune actuelle. Dans l’antiquité, ce site est implanté sur la rive droite du Rhône, en bordure de la voie dite « de Narbonnaise » et limité par le prolongement du pont antique sud de Vienne, édifié au plus tard à la période flavienne et récemment identifié par Laurence Brissaud (Brissaud 2018). Les investigations ont révélé un quartier entier de la ville romaine où se mêlent espaces publics, riches demeures décorées de mosaïques et espaces artisanaux organisés au sein d’un îlot dégagé dans sa quasi-intégralité. Les vestiges se succèdent du début du Ier siècle au VIIIe siècle avec un état de conservation exceptionnel qui permet de documenter avec précision ce secteur jusque-là mal connu des faubourgs de la colonie. Considérant la richesse extrême de ce site, nous voulons enfin rappeler que cette présentation doit être considérée comme un premier tour d’horizon des découvertes effectuées en 2017.

Un premier aménagement du quartier au début du Ier siècle apr. J.-C.

Les premières occupations humaines observées dans le secteur correspondent à d’importants travaux destinés à viabiliser et uniformiser la rive du fleuve. Un remblai est apporté à la fin du règne d’Auguste afin de surélever tout l’îlot sur plus de 1,50 m et assurer la protection contre les crues du Rhône encore fréquentes à cette époque (Bravard 2013). Cette plateforme va accueillir un vaste horreum édifié le long des berges, face à une probable berge (fig. 1). Dégagé partiellement en bordure de l’emprise, il se développe sur plus de 70 m de long, rythmé par des cellules doubles de 6,40 m de large séparées par des vides sanitaires. Les maçonneries sont peu fondées et les cellules sont dotées de sols en terre battue. Cette organisation est parfaitement identique à celle des grands horrea de Vienne repérés sur l’autre rive du fleuve et composés d’au moins quatre blocs édifiés dans la première moitié du Ier siècle. Ils sont constitués de cellules doubles de 6,40 m de large, séparées par des vides sanitaires, pour une longueur d’une trentaine de mètres en moyenne (Le Bot-Helly 1989 ; Adjadj 2013, p. 452-465). Ces parallèles nous permettent de proposer une longueur similaire de 100 pieds pour les cellules du bâtiment découvert à Sainte-Colombe, ce qui est confirmé par l’emplacement des berges antiques du Rhône, mises en évidence à une quarantaine de mètres du mur du fond de l’entrepôt.
En arrière de cet entrepôt, un espace ouvert bordé d’un portique était occupé par des bâtiments en terre et bois dont l’interprétation reste encore à définir (habitat modeste ?). La voie qui marque la limite occidentale de l’îlot est quant à elle bordée par des édifices économiques qui semblent se développer selon un plan normalisé. Ils sont composés de boutiques rectangulaires d’environ 55 m² qui ouvraient largement sur la rue. En fond de parcelle, l’insula O est dotée d’un espace de circulation donnant sans doute sur l’espace ouvert au centre de l’îlot, alors que pour l’insula J, les boutiques possèdent une petite cour de 25 m². Si les aménagements postérieurs ont le plus souvent détruit les sols et les structures artisanales relatives à cette première phase, un cellier composé de trois amphores et deux vases de stockage a été mis au jour dans la boutique O3. Son comblement a notamment livré une statue en calcaire du Midi représentant le châtiment de Marsyas. Seul le faune est partiellement conservé au centre du socle et accompagné de deux paires de pieds encore visibles de part et d’autre du personnage central. Elles devaient appartenir au dieu Apollon et à l’esclave scythe qui procède au châtiment du silène, puni à l’issue d’un concours de flûte perdu avec le dieu (Sismondo-Ridgway 2000, p. 283-285). Ce groupe statuaire en ronde-bosse devait appartenir au decorum d’une riche domus sans doute située au nord de l’emprise de fouille.

Développement du quartier au cours du Ier siècle

Un nouveau plan d’urbanisme est mis en place sous le règne de Claude et les parcelles de l’îlot sont intégralement loties (fig. 1). Si les boutiques ouvrant sur la voie sont reconstruites à l’identique, une domus est aménagée dans l’angle nord-ouest de l’îlot alors que sa moitié orientale est dévolue à un édifice collectif de grande envergure qui vient supplanter l’horreum et la place située en arrière. Ce complexe prend la forme d’au moins trois ailes composées de boutiques dédiées à la production artisanale (métallurgie, vente de denrées alimentaires, etc.) (fig. 2). Un puissant portique unit l’ensemble et ceinture une place de 2500 m² dotée d’un bassin d’agrément et d’une base maçonnée destinée à recevoir un autel. Un réseau hydraulique complexe vient compléter ces aménagements et permet le nettoyage des boutiques et des appartements ainsi que le drainage de la place. Cet ensemble architectural correspond sans doute à une vaste place de marché aménagée le long des berges du Rhône et destinée à recevoir les marchands itinérants qui venaient vendre leur production sur l’esplanade centrale (De Ligt 1993 ; Lo Cascio 2000), comme l’attestent les négatifs de piquets, les monnaies et les poids de balance en plomb retrouvés en abondance. L’incendie qui a détruit cet ensemble autour de l’année 69 apr. J.-C. a paradoxalement permis de le préserver et nous offre une image inédite des espaces artisanaux, des structures de production et des assemblages de mobilier qu’ils contiennent.
L’effondrement de l’édifice consécutif à l’incendie et le rehaussement complet du quartier à l’issue de cette catastrophe ont préservé ses couches de démolition et permis d’explorer plusieurs appartements situés à l’étage. Ils étaient encore remplis de la quasi-totalité des mobiliers qu’ils contenaient, abandonnés sur place lorsque les occupants ont fui les flammes, permettant ainsi d’appréhender avec une grande précision les modes de vie et la culture matérielle des habitants de ce quartier (Clément, Carbone 2021) (fig. 3). Ces appartements d’une superficie moyenne de 80 m² étaient accessibles depuis des cages d’escalier indépendantes donnant sur le portique. Au bout de l’escalier, on débouchait dans les espaces de services où une cuisine associée à des latrines est clairement identifiée grâce aux mobiliers (céramique, vaisselle en bronze, crémaillère, repose plat en fer, etc.) et aux aménagements (table à feux maçonnée, niche). Signalons que ces appartements étaient dotés de l’eau courante comme l’attestent les tuyaux en bois et les raccords en plomb qui serpentent sous la place et les portiques. C’est également au débouché de l’escalier qu’étaient stockés les strigiles destinés aux ablutions thermales. Les pièces centrales, dépourvues de lumière directe, étaient desservies par un couloir et servaient de chambres à coucher caractérisées par la découverte de pieds de lit en fer associés à des repose-pieds. Enfin, la pièce principale de ces appartements, d’une superficie d’environ 25 m², ouvrait sur la place de marché d’où elle puisait une lumière directe. Dotés de sol en béton avec incrustation de marbre et de murs décorés de fresques peintes, ces espaces de vie commune ont livré de nombreux objets du quotidien (matériel d’écriture, jeux, objets de toilette, objets cultuels, vaisselles de prestige, etc.) contenus dans des coffres en bois aux charnières en os et parfois décorés de feuilles d’argent travaillées au repoussé.
Au-delà des objets liés à la vie quotidienne, la fouille de l’appartement A17/A27, situé à l’angle nord-ouest de la place, a livré un coffre contenant une lorica segmentata, un gladius de type Mayence, un pugio encore dans son fourreau, un pilum complet (pointe et talon), un élément de casque en bronze de type Haguenau ainsi que des clous de chaussures caractéristiques des caligae portées par l’armée romaine. Cet ensemble permet de supposer que son occupant fut un légionnaire engagé au début des années 40 apr. J.-C. et sans doute libéré sous le règne de Néron, pendant lequel il est revenu s’installer à Vienne. Au lieu de rendre son équipement contre une somme financière à la fin de son service (Breeze 1976), il aurait préféré le conserver comme memorabilia (Nicolay 2002).

Reconstruction à la suite de l’incendie (fin Ier-IIIe siècle)

Un nouvel édifice public le long du Rhône

Au cours du règne de Vespasien, un nouvel édifice public vient supplanter la place de marché (fig. 1). Édifié en même temps que le pont sud de Vienne contre lequel il s’appuie, il s’organise autour d’une vaste place dotée d’une fontaine monumentale et bordée de basiliques à deux nefs soutenues par de puissants piliers. La basilique occidentale, dégagée intégralement, présente une longueur de 65 m pour une largeur de 12 m. Les basiliques méridionales et septentrionales sont d’une largeur plus importante, 14 m, et dotées de cage d’escalier aménagée contre leur mur nord. Les murs des basiliques étaient revêtus de marbre imitant une fausse architecture monumentale rehaussée de guirlandes végétales. Les branches de portique, large de 3,50 m, entourent une place pavée de dalles de calcaire dur qui couvraient une superficie minimale de 1500 m². La fontaine centrale, malheureusement très arasée par les constructions contemporaines, abritait quant à elle des groupes statuaires, dont une stèle en calcaire représentant le dieu Mercure et des fragments de statue en marbre à l’échelle 1/2. Ce complexe se développe en bordure du Rhône sur une superficie restituée de près de 7000 m².
La destination de cet édifice est aujourd’hui difficile à saisir en l’absence d’inscription ou de comparaison évidente. Toutefois, sa situation le long du Rhône, son plan atypique sans doute inspiré du monde oriental et son lien évident avec la maison au Médaillon implantée au centre de l’îlot sont autant d’indices d’un espace à vocation publique et sans doute commerciale, voir associatif, peut-être en lien avec les grands horrea situés au débouché du pont sud de Vienne, sur l’autre rive du Rhône.

La maison des Bacchantes

Plusieurs riches domus sont également mises en place à l’occasion de ce nouveau plan d’urbanisme. La maison des Bacchantes, qui occupe l’angle nord-ouest de l’îlot, est sans doute la plus emblématique. Elle est édifiée dès le milieu du Ier siècle apr. J.-C., mais la forme que nous connaissons le mieux date de la fin du Ier siècle et perdure jusqu’à son abandon au début du IIIe siècle, où elle sera détruite par le second incendie qui ravage tout le quartier. Une nouvelle fois, cet événement a permis de préserver sa riche décoration ainsi que ses étages effondrés sur les sols du rez-de-chaussée.
Composée d’une trentaine de pièces couvrant une superficie totale de 900 m², cette domus s’organise autour d’un péristyle carré bordé de portiques aux colonnes et chapiteaux corinthiens qui ouvrent sur un jardin doté d’un bassin à abside. Ces galeries sont surmontées d’un toit plat, faisant office de terrasse au sol mosaïqué de couleur blanche et bordée par une rambarde maçonnée et ornée de marbres blancs. On accédait à cette maison depuis la voie dite « de Narbonnaise » par un couloir en « L » qui donnait sur le péristyle. La maison s’organise selon un axe ornemental privilégié est-ouest. D’un côté, son triclinium occupe une superficie de 75 m², décoré d’une mosaïque figurative exceptionnelle datée de la période flavienne et organisée autour de quinze tableaux en opus vermiculatum (fig. 4). Le panneau central, face au maître de la maison lors des banquets, représente le dieu Bacchus abreuvant sa panthère à l’ombre d’un pied de vigne. Les panneaux situés dans les angles sont occupés par des bacchantes portant les attributs des saisons (été et hiver ont été reconnus). Ces tableaux sont entourés de frises végétales de très grande qualité et d’inspiration italienne où des personnages de la suite bachique (Silène, ménades, satyres) dansent et apportent des offrandes. De l’autre côté du jardin, un balnéaire privé composé d’une salle froide (frigidarium) décorée d’une mosaïque et d’une salle chaude (caldarium) aux sols et parois revêtus de marbre vient compléter les riches aménagements de cette maison. Une seconde phase décorative, datée du règne d’Antonin le Pieux grâce à la découverte d’une monnaie prise dans la préparation d’une mosaïque, a été mise en évidence dans l’aile sud de la maison. Cette partie est occupée par deux salons largement ouverts sur le jardin et décorés de mosaïque à motif géométrique. Dans le salon I7, la découverte d’une multitude de feuilles de laurier en bronze le long des murs, prises dans la démolition ou posées sur le sol de la pièce, laisse supposer la présence de tentures luxueuses accrochées aux murs.

La maison au Médaillon

Au centre du site, la maison au Médaillon est édifiée dans la seconde moitié du IIe siècle apr. J.-C. Elle se développe sur une superficie de 1200 m² et s’organise autour de trois jardins agrémentés de bassins et de fontaines. L’analyse de son plan et de sa circulation permet de distinguer une partition forte entre un secteur public, accessible depuis une ruelle au nord ou par la basilique occidentale de l’édifice public E, et une partie plus privative desservie par un long couloir au sol mosaïqué. La pars publica s’organise autour d’un jardin bordé de deux branches de portique. Au nord, le portique large de 5 m est doté d’un sol en béton décoré de crustae en marbres colorés. Dans son angle nord-ouest, un meuble est incrusté dans le sol et fermé par une porte aux charnières en bronze. Cet aménagement pourrait correspondre à un tabularium dans l’effondrement duquel un médaillon en bronze, frappé par l’empereur Commode en 191 apr. J.-C. a été mis au jour. Ce type de monnayage extrêmement rare était généralement donné par l’empereur pour récompenser des personnages liés à l’administration impériale ou à l’armée. Sa découverte dans les niveaux de démolition de cette maison nous permet de relier la fonction de son dernier propriétaire à l’administration impériale au sens large. La bordure occidentale de ce premier péristyle est matérialisée par quatre pièces richement décorées. La pièce la plus emblématique correspond à un bureau (H12) de 16 m² recevant une mosaïque construite sur le motif de l’étoile à huit losanges. Le centre de ce pavement est occupé par un panneau octogonal représentant l’enlèvement par un satyre ithyphallique d’une ménade installée sur un rocher et tenant dans une main un masque de tragédie et dans l’autre un thyrse (fig. 5). Le fond de cette scène se distingue des productions classiques viennoises avec l’évocation par aplat de couleurs d’un paysage vallonné bordant un cours d’eau et au fond duquel se dessine un bâtiment (temple ?).
Au-delà d’un seuil en marbre, la partie privée de la maison est composée d’une vingtaine de pièces qui se développe en longueur autour de deux jardins. Au nord, un petit péristyle entoure un jardin décoré d’un bassin à abside et de coursiers au sol de marbre ou de mosaïque alimentés par des fontaines. L’oecus est installé au sud le long du portique sud, dans l’axe du bassin. Il est doté d’un sol en opus sectile composé de plaques en cipolin, fleur de pêcher, en marbres blancs, en calcaire rose et schiste noir, qui forment un motif géométrique complexe se rapportant au type QOpD défini par F. Guidobaldi (Guidobaldi 1985). De l’autre côté de ce péristyle, l’aile nord de la domus se compose d’un ensemble de pièces de réception décorées de mosaïques géométriques ou de sol à crustae de marbre. Les pièces H22 et H9 se distinguent de cet ensemble par la qualité de leur pavement, la présence d’un hypocauste parfaitement préservé en H9 et la découverte d’une statue en marbre de Silène à l’outre brisée sur la mosaïque géométrique de H22.

La fin de l’Antiquité et le début du Moyen Âge

L’abandon du site est marqué par un vaste incendie qui se produit dans les premières décennies du IIIe siècle et qui semble ravager toute la moitié sud des faubourgs installés sur la rive droite du Rhône. S’en suit une période de squattage caractérisée par une ultime reprise de la voie dite « de Narbonnaise » et par l’installation d’un atelier de faux monnayeur dans les ruines de la maison des Bacchantes (fig. 1). Si les édifices sont abandonnés, les limites parcellaires semblent encore être présentes comme l’atteste la transformation de certaines parcelles en nécropole dès le début du IIIe siècle. Ainsi, la parcelle de la maison des Bacchantes reçoit une demi-douzaine de sépultures à inhumation alors que les autres parcelles en sont dépourvues. Ce phénomène de persistance parcellaire est également clairement visible sur le site des Petits Jardins, situé juste au-dessus (Clément, Nouet 2019).
Dans la seconde moitié du IVe siècle, le complexe monumental au bord du Rhône est abandonné et un petit grenier est implanté dans la partie nord-ouest du secteur. Il se compose de trois cellules semi-enterrées aux murs recouverts d’enduits hydrauliques et dotées de planchers disposés au-dessus d’un vide sanitaire. Des ouvertures encadrées de dés en molasse sont aménagées dans le mur nord de l’édifice et assurent ainsi la ventilation des pièces. Cet ensemble reprend en partie les murs périmétraux du bâtiment E et semble rattaché à un complexe plus vaste se développant au nord, hors de l’emprise de fouille. Enfin, une nécropole du haut Moyen Âge comprenant une quarantaine de sépultures est installée dans l’emprise du bâtiment E et constitue la dernière trace d’occupation du site.


Retrouvez ici une actualité détaillant les premiers résultats de l'opération :


Revue de presse :


Bibliographie scientifique :

  • Clément, Baldassari 2018 : CLEMENT B., BALDASSARI D., Une mini-Pompéi des bords du Rhône, Archeologia, n°564, avril 2018, pp. 34-43.

  • LANDRIEUX C.,  La céramique romaine de Sainte-Colombe, Le Bourg (Rhône) : étude du mobilier de la citerne de la pièce J10, in : SFECAG, Actes du congrès de Lyon, 24-27 septembre 2020, Marseille, SFECAG, 2020, 309-316.


Commune : Sainte-Colombe

Adresse/lieu-dit : Le Bourg- Parc aux Colombes

Département/Canton : Rhône

Année de fouille : 2017

Période principale d'occupation : Antiquité

Autres périodes représentées : Moyen Âge

Responsable d'opération : Benjamin CLEMENT

Aménageur : SCI Le Parc aux Colombes

Raison de l'intervention : Construction de logements

Type de chantier : Sédimentaire (Fouille préventive)


Plaquette de présentation du site


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