Notre partenaire suisse InSitu Archéologie recrute.
Venez découvrir leurs offres sur leur site internet :
Venez découvrir leurs offres sur leur site internet :
Sainte-Colombe “le bourg”
rendu du rapport d’un très riche site de l’agglomération viennoise antique
Vendredi 6 octobre, une soixantaine de personnes se sont réunies au Musée et sites gallo-romains (Saint-Romain-en-Gal, Rhône) pour célébrer le rendu du rapport de Sainte-Colombe – Le Bourg, marquant une étape importante dans l’étude de ce site exceptionnel.
Tous les participants à cette aventure humaine inédite étaient réunis : aménageurs, Service régional de l’archéologie, équipe de fouille, spécialistes, restaurateurs, musée… Ils ont pu assister à une conférence de Benjamin Clément pour ensuite admirer le mobilier et les mosaïques restaurés par le CREAM et l’ARM (éléments qui intégreront prochainement le parcours permanent du musée). La journée s’est achevée autour d’un buffet offert par Archeodunum.
Cette journée été l’occasion de souligner la fécondité des partenariats mis en place dès la fouille, qui ont permis de garantir la qualité scientifique de ce travail tout en posant les jalons de sa valorisation rapide pour le grand public.
Tous nos remerciements vont au département du Rhône et au Musée et sites gallo-romains pour avoir grandement facilité l’organisation de cette journée : Damien Raymond (directeur général adjoint), Émilie Alonso (directrice), Guillaume Legrand (assistant de direction), Maria Paraskeva (régisseuse des collections), Sébastien Fily (assistant régie d’œuvres) et Christelle Reymond (chargée de la location des espaces). Merci également au membres du CREAM (Véronique Langlet-Marzloff, Florent Duval et Eve Paillaux) et de l’ARM (Christophe Laporte et Philippe Mercoret), ainsi qu’à Nathalie qui nous a généreusement ouvert son bar Le Neuf pour la suite de la soirée.
Opération d’archéologie préventive conduite en 2017 sur la commune de Sainte-Colombe (Rhône), en préalable à la construction de logement par la SCI Le Parc aux Colombes.
Prescription et contrôle scientifique : Service régional de l’archéologie d’Auvergne-Rhône-Alpes.
Maîtrise d’ouvrage : SCI Le Parc aux Colombes
Opérateur archéologique : Archeodunum (Responsable : Benjamin Clément)
Poste à pourvoir de suite
Les 16 et 17 septembre 2023, auront lieu les prochaines Journées Européennes du Patrimoine.
A cette occasion, Archeodunum vous propose six évènements pour aller à la rencontre de l’archéologie et du patrimoine, à travers conférence et rencontres sur site.
Retrouvez-nous à :
Venez rencontrer l’archéologue Jean-Baptiste Vincent au Château de Vendôme (Loir-et-Cher). Il vous présentera les résultats de l’étude archéologique qui accompagne le chantier de restauration du château. L’ampleur des travaux projetés sur le château de Vendôme en font un évènement majeur pour l’archéologie avec l’étude des tours, des courtines et du châtelet qui étaient jusqu’alors inaccessibles
Retrouvez tous les détails de cet évènement
D’autres activités sont proposées au château de Vendôme ce même jour : retrouvez le détail sur le site des Journées Européennes du Patrimoine.
Depuis 2022, le château de Montrichard fait l’objet d’importants travaux de restauration. Grâce aux échafaudages, les archéologues peuvent collecter toutes les informations et profiter du nettoyage des murs, voire de certains démontages des maçonneries, pour lire le monument en profondeur Hugo Thomas vous propose une visite du donjon étudié à cette occasion.
Retrouvez tous les détails de cet évènement
D’autres activités sont proposées sur ce site dans le cadre des JEP : retrouvez le détail sur le site des Journées Européennes du Patrimoine.
Séjour des rois de France pendant la cérémonie du couronnement, le palais du Tau – ancien palais de l’Archevêque de Reims – doit son nom à la forme de son plan en T. La lettre « T » se prononce « tau » en grec. Attesté dès 1131 le palais fait aujourd’hui l’objet d’un chantier de restauration. Camille Collomb vous propose un découverte de la salle basse du Palais, étudiée à l’occasion de ce chantier.
La chartreuse pontificale de Villeneuve-lez-Avignon, fondée au XIVe siècle, est un édifice remarquable par son histoire et son architecture. C’est aujourd’hui le lieu d’un double patrimoine, historique et vivant : celui de la chartreuse médiévale ouverte aux visiteurs, et celui du Centre national des écritures du spectacle qu’elle accueille dans ses murs. Alors que des recherches archéologiques y sont menées à l’occasion d’un chantier de mise en accessibilité du site, Quentin Rochet, archéologue en charge des fouilles, vous propose une conférence/échange sur l’archéologie préventive et la chartreuse de Villeneuve.
L’église Saint-Sauveur de Sahurs se situe au creux d’une des boucles de la Seine. Il se remarque dans le paysage par son architecture est singulière : abside romane, travées gothique flamboyant, etc. Classé Monument Historique en 1928, l’édifice est actuellement l’objet d’un chantier de restauration suivi par les archéologues. Margaux Lainé, archéologue médiéviste, vous propose une conférence sur son étude.
Une conférence à plusieurs voix sur l’archéologie néolithique de l’Ile d’Yeu..
Aldo Borlenghi et David Baldassari vous propose une conférence intitulée “L’eau du Gier pour Lugdunum, architecture et datation du plus long aqueduc romain lyonnais”. Conférence coanimée par Aldo Borlenghi, maître de conférences en Archéologie et histoire de l’art du monde romain à l’Université Lumière Lyon 2 et David Baldassari, archéologue de la société Archeodunum et responsable de l’opération d’archéologie du bâti réalisée à l’occasion de la restauration des arches du pont siphon de Beaunant.
Le développement de notre agence Nord (Reims) se poursuit et plusieurs chantiers sont prévus pour l’automne 2023.
Période chronologiques : Protohistoire, Antiquité, Moyen Âge.
Contrats de plusieurs semaines / mois selon les fouilles.
Chantiers à débuter à partir de septembre 2023
Archeodunum recherche pour la rentrée universitaire 2023/2024
Bien que la construction sur poteaux porteurs ait été largement utilisée depuis le Néolithique, elle n’a que rarement fait l’objet de grandes études d’histoire de l’architecture. Pourtant, ce principe constructif est sans doute l’un des plus utilisés depuis les débuts de l’histoire de la construction.
D’un point de vue archéologique, ces aménagements laissent des traces caractéristiques, que l’on résume sous l’appellation « trou de poteau ». Il s’agit de petites fosses qui conservent, dans les meilleurs des cas, la trace du poteau décomposé ou des pierres de calage permettant d’en délimiter l’empreinte. Toutefois, il s’agit la plupart du temps de structures anonymes, mal conservées et difficilement datables. Pour la majorité des sites, seuls les alignements spécifiques des trous de poteau et les angles de ces alignements permettent de dégager les plans de bâtiments qui pourront servir à la réflexion sur l’architecture à une période donnée.
Souvent, de multiples aménagements (travaux de réparation, rajouts, réédification) et des installations sur les mêmes lieux à différentes époques rendent complexe l’interprétation. Les structures sont alors enchevêtrées et les alignements peuvent être trompeurs. À la géométrie s’ajoutent d’autres paramètres : la forme et la taille de la fosse, son altitude, le matériel trouvé dans son comblement, la stratification du contenu, ou encore la présence d’un négatif de poteau conservé, qui constituent autant d’éléments à prendre en compte pour associer ou distinguer les trous de poteau entre eux.
Les archéologues cherchent depuis longtemps une méthode rationnelle pour identifier ces bâtiments, notamment dans les cas précis où ils nous arrivent imbriqués les uns dans les autres. Dans ces cas, la confusion est telle que l’oeil humain, malgré les tris des trous de poteau en fonction de leurs dimensions, de leur forme, de leurs altitudes ou de leur contenu, n’est pas en mesure d’identifier des plans cohérents.
La réflexion actuelle porte sur l’utilisation de méthodes d’intelligence artificielle, comme celles d’apprentissage automatique (machine learning). L’idée consiste à ne pas utiliser uniquement les données intrinsèques aux trous de poteau et à leurs relations entre eux, mais à entraîner un modèle d’apprentissage automatique pour détecter des plans de bâtiments, en lui faisant apprendre les très nombreux plans avérés, connus et variés. Le modèle pourrait ainsi tenir compte des variations par rapport à la norme et des plans de bâtiments qui répondent le moins à des critères géométriques.
l’objectif du contrat d’alternance est de réaliser un état de l’art des méthodes d’apprentissage automatique et d’apprentissage profond, des méthodes géométriques, permettant de détecter des contours ou formes à partir de points. Il devra également constituer un jeu de données à partir des plans avérés et variés pour l’entraînement des modèles. Enfin, il lui incombera de proposer, entraîner et évaluer un ou des premiers modèles.
Le profil demandé est un·e étudiant·e en master ou en école d’ingénieurs d’intelligence artificielle ou de science des données avec une appétence pour travailler dans le domaine de l’archéologie. Le ou la stagiaire/alternant sera encadré(e) par un chercheur en informatique et par un archéologue.
Lieu : Siège d’Archeodunum, 500, rue Juliette Récamier, 69970 Chaponnay
Rémunération : 1464,80 € Brut/mois
Les candidat·e·s retenu·e·s après examen des dossiers seront convoqués pour un entretien.
Du 16 au 18 juin 2023, auront lieu les prochaines Journées Européennes de l’Archéologie.
A cette occasion, Archeodunum vous propose six évènements pour visiter des chantiers en cours de fouille
ou découvrir les résultats de chantiers récents.
Retrouvez-nous à :
A VOS AGENDAS !
le chantier de fouille du site antique d’Aoste ouvre ses portes au public. L’équipe archeodunum qui mène actuellement la fouille sous la direction de Miguel Rodriguez vous acceuillera pour des visites commentées.
Le samedi 17 juin, de 9h à 12h et de 13h à 17h. Par groupe de 15/20 personnes max.
Le Musée gallo-romain d’Aoste propose également :
Inscription obligatoire auprès du musée d’Aoste – Accueil et départ des groupes obligatoires depuis le musée d’Aoste
Depuis mars 2023, les archéologues d’Archeodunum et du Service Archéologique de la Ville d’Autun explorent, sous la direction de Jessy Crochat, deux salles du musée Rolin à Autun. Cette fouille archéologique intervient dans le cadre du futur musée Panoptique, qui associera l’actuel musée Rolin, l’ancienne prison et le palais de justice.
Les archéologues creusent jusqu’à une profondeur de 5 mètres, dans une opération qui associe technologies de pointe et haute sécurité. 2000 ans d’histoire apparaissent sous leurs outils : un rempart romain, des maisons médiévales et un hôtel du XVe siècle.
L’équipe œuvrant sur le site vous accueillera sur place à l’occasion des Journées Européennes de L’Archéologie. Ils et elles vous proposeront de découvrir, par des échanges informels, en images et à travers les objets, ce qui se cache dans les profondeurs du musée Rolin.
Animations : diaporama, exposition d’objets archéologiques, échanges avec les archéologues, aperçu du chantier.
Rendez-vous dans la cour et accueil du musée Rolin, 3 rue des Bancs, 71400 Autun
Horaires : samedi 17 juin 2023, 10h-12h et 13h30-16h30
Entrée libre
Le samedi 17 juin de 14:00 à 14:45, Arthur Tramon et Gillian Filiz, archéologues de la société Archeodunum, vous présenteront, le temps d’une conférence, les résultats de la fouille réalisée en 2020 sur le lotissement de La Plaine. Vous découvrirez les vestiges laissés par une communauté de l’âge du Bronze installée à Oudalle il y a 3500 ans. Une occasion unique pour échanger avec les archéologues et admirer de nombreux objets, dont une exceptionnelle hache en bronze.
Après avoir été soigneusement restaurée, cette hache sera présentée au public pour la première fois !
Les archéologues seront disponibles pour répondre à vos question et interrogations le reste de la journée, de 10:00 à 12:00 et de 15:00 à 17:00
Retrouvez les archéologues d’Archeodunum dans le cadre du Village de l’Archéologie. En région Sud-Ouest, notre agence, située à Colomiers, est intervenue à plusieurs reprises sur la commune de Toulouse : Caserne Niel, ligne du Tramway Garonne, rue des 36 Ponts, rue du Férétra, rue Rambaud, etc. Des découvertes effectuées dans le cadre de ces fouilles sont également à découvrir dans les vitrines du Musée !
Seront également présent dans le village de l’archéologie : L’association Action de Promotion et d’Aide à la Recherche En Archéologie (APAREA), la Cellule archéologie de la Direction du Patrimoine de Toulouse Métropole, L’association Délires d’encre, Eveha, Grottes & Archéologies, Hadès Archéologie, L’INRAP, Materia Viva, le Service régional de l’archéologie Occitanie, le laboratoire TRACES. Toutes ces structures sont présentées sur la page dédiée du site des JEA.
Retrouvez tous les détails de cet évènement
Et parcourez nos plus intéressantes interventions qui se sont déroulées à Toulouse depuis 2012 :
Aménagé en jardin botanique par Buffon au XVIIIe siècle, le parc est intimement lié à l’histoire du château des ducs de Bourgogne sur lequel il est construit. La Tour de l’Aubespin – plus haute tour-terrasse de Bourgogne – constitue avec la Tour Saint-Louis, les salles souterraines et les remparts, les vestiges les plus visibles de l’ancienne forteresse.
L’ensemble des services culturels de la ville de Montbard s’associe pour proposer un événement intitulé “Montbarchéo” avec au programme : ateliers, découverte des tours rénovées, visites avec archéologues et architectes, lecture, bal et spectacle de fauconnerie.
Un archéologue d’Archeodunum vous accompagne pour une visite du site, le samedi 17 juin de 14:30 à 15:30 et de 16:00 à 17:00. Une exposition retracera également les cinq années de fouilles archéologiques.
Retrouvez tous les détails de cet évènement
Et parcourez les différentes interventions d’Archeodunum au parc Buffon :
Aménagé en jardin botanique par Buffon au XVIIIe siècle, le parc est intimement lié à l’histoire du château des ducs de Bourgogne sur lequel il est construit. La Tour de l’Aubespin – plus haute tour-terrasse de Bourgogne – constitue avec la Tour Saint-Louis, les salles souterraines et les remparts, les vestiges les plus visibles de l’ancienne forteresse.
L’ensemble des services culturels de la ville de Montbard s’associe pour proposer un événement intitulé “Montbarchéo” avec au programme : ateliers, découverte des tours rénovées, visites avec archéologues et architectes, lecture, bal et spectacle de fauconnerie.
Un archéologue d’Archeodunum vous accompagne pour une visite du site, le samedi 17 juin de 14:30 à 15:30 et de 16:00 à 17:00. Une exposition retracera également les cinq années de fouilles archéologiques.
Retrouvez tous les détails de cet évènement
Et parcourez les différentes interventions d’Archeodunum au parc Buffon :
A l’occasion des Journées Européennes de L’Archéologie, le centre de Restauration et d’Etudes Archéologiques Municipal (CREAM) de Vienne (Isère) vous accueille les 16 et 17 juin.
Les conservateurs-restaurateurs vous présenteront les différents moyens mis en œuvre pour révéler et valoriser le message, souvent dissimulé, que recèlent les objets mis au jour par les archéologues, ainsi que les procédés utilisés pour en assurer la conservation.
A cette occasion, vous pourrez voir une partie des objets issus de notre fouille exceptionnelle de Sainte-Colombe “Le Bourg”.
Visites gratuites le vendredi 16 juin (10-12h et 14-17h) et le samedi 17 juin (10-12h et 14-17h).
Visites gratuites d’une heure par groupes d’environ 10 personnes.
Réservation conseillée au 04 74 85 19 00
C’est à la création d’un lotissement aux abords du bourg de Torfou, rattaché à la commune de Sèvremoine (Maine-et-Loire), que l’on doit l’ouverture d’une fenêtre archéologique sur le passé de ce secteur. Depuis le 13 mars, les archéologues d’Archeodunum mettent au jour les vestiges d’une vaste ferme de la période romaine.
Prescrite par le Service Régional d’Archéologie des Pays de la Loire, l’opération d’archéologie préventive a été motivée par l’aménagement, par la commune de Sèvremoine, d’un nouveau lotissement. La fouille a été précédée d’un diagnostic archéologique (évaluation portant sur environ un dixième du terrain), qui a révélé des vestiges de l’Antiquité.
Sur les 25 000 m2 à fouiller, le travail a commencé par un décapage réalisé à l’aide de pelles mécaniques. Ces engins ont permis de retirer la terre végétale sur 0,30 à 0,50 m d’épaisseur. Sous ce recouvrement de surface, plus de 600 aménagements ont été mis au jour : empreintes de poteaux, fosses diverses, structures de combustion, fossés et chemins. Ces vestiges appartiennent majoritairement à la période antique, plus particulièrement au Ier s. après J.-C. Les objets archéologiques, comme les fragments de céramique gallo-romain, sont de précieux indices pour dater les occupations. Quelques traces d’activités humaines aux périodes médiévale ou moderne ont également été décelées.
Au sein de tout un réseau de creusements, trois fossés d’environ 60 m de long et 1,2 m de profondeur ceinturent un espace de 3 800 m2. Les archéologues n’ont pas encore pu distinguer de constructions à l’intérieur de l’enclos. Il est très probable que ces dernières n’aient pas laissé de traces. Cet aménagement semble correspondre à un élément central d’une grande ferme de la période antique, dont les limites ne sont pas encore connues.
À l’extérieur de l’enclos, plusieurs alignements de trous d’ancrages de poteaux en bois, également appelés « trous de poteau » par les archéologues, permettent de restituer des plans de bâtiments gallo-romains. Pour la construction, on recourait à des matériaux périssables (terre et bois), qui n’ont laissé que peu de traces dans le sol. Les fonctions de ces édifices de grande ampleur sont vraisemblablement multiples : hangar de stockage, zone de travail artisanal, parcage des animaux… Ils constituent vraisemblablement des aménagements majeurs de cette grande ferme antique.
Un chemin d’époque moderne se superpose à la partie sud de l’enclos antique. Il se poursuit à l’est sur un axe nord-sud. La fouille permettra de savoir si l’un ou l’autre de ces chemins, visible sur les cadastres anciens était déjà en place durant l’Antiquité.
Au terme de l’intervention, en juin 2023, le patrimoine archéologique aura été sauvegardé par le travail de terrain, et la commune pourra poursuivre l’aménagement du lotissement du Pré aux Sources. Côté archéologie, les investigations se poursuivront en laboratoire durant deux ans. Un important travail d’étude sera réalisé par les archéologues et les spécialistes, de manière à obtenir le maximum d’information. Des analyses par le radiocarbone permettront d’affiner la datation des différents contextes. Un rapport abondamment documenté synthétisera l’ensemble des résultats de cette opération.
Téléchargez la plaquette de présentation du site au format PDF.
Opération d’archéologie préventive conduite au printemps 2023 sur la commune de Sèvremoine (Maine-et-Loire), en préalable à la création d’un lotissement.
Prescription et contrôle scientifique : Service régional de l’archéologie des Pays de la Loire
Maîtrise d’ouvrage : Commune de Sèvremoine
Opérateur archéologique : Archeodunum (Responsable : Marc-Antoine Dalmont)
Deux nouveaux suppléments de la Revue Archéologique de l’Ouest viennent de sortir et plusieurs archéologues d’Archeodunum participent à ces publications.
Le onzième supplément à la Revue Archéologique de l’Ouest concerne le bilan des deux dernières décennies de recherches sur l’archéologie antique en Pays de la Loire.
Lola Trin-Lacombe participe à l’article sur l’artisanat potier à l’époque romaine en Pays de Loire et Morbihan, tandis que Alexandre Polinski participe au chapitre sur les carrières de pierre et les réseaux d’approvisionnement en Pays de la Loire.
Plus de renseignements et commande en ligne
Le douzième supplément à la Revue Archéologique de l’Ouest consacre un hommage à Jea-Laurent Monnier par un numéro sur la Préhistoire et la Protohistoire à l’Ouest de la France.
Audrey Blanchard, Valentin Lehugeur et Fabien Montassier publient avec jean-Noël Guyodo un article sur les fossiles de requins et de mammifères marins du site Néolithique moyen des Cléons à Haute-Goulaine (Loire-Atlantique).
47e Colloque international de l’Association Française pour l’Etude de l’Âge du Fer
Cette année, Archeodunum est partenaire du 47e colloque de l’AFEAF qui aura lieu à Lausanne (Vaud, Suisse) du 18 au 20 mai 2023 sur le thème de la guerre.
De multiples communications seront proposées sur les trois jours avec, parmi celles-ci, des présentations de Sylvie Barrier, Matthieu Demierre et Romain Guichon.